On retrouve à Montréal un grand nombre d’espaces résiduels, souvent non constructibles ou juste laissés sans vocations. En essayant de réunir les problématiques qui m’importent le plus en tant que future designer, je propose un refuge végétal où l’humain trouve sa place dans un espace reflétant tant sa propre personne que l’environnement qui l’entoure. Cette forêt de poteaux de bois et de plantes grimpantes se veut chaleureuse, naturelle et propose un appel aux sens, un retour à l’essentiel. La présence de l’eau permet l’irrigation des plantes et provoque même un micro climat dans lequel il est bon de se réfugier un jour d’été un peu trop ensoleillé. Ce refuge se présente comme une micro-architecture et se rapproche du pavillon, voir de l’installation par son aspect temporaire et démontable.